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Piloter l’énergie, maîtriser les coûts.

Dans quels contextes faire appel à nous ?

Caillou Vert vous aide à reprendre la main sur vos consommations, votre maintenance et votre conformité réglementaire — pour une gestion plus prévisible, plus efficiente, et résolument tournée vers l’avenir.

Vos enjeux concrets,
nos réponses
techniques

Pour mieux gérer des bâtiments dans un contexte de maîtrise des coûts et résolution de problèmes de bon fonctionnement

  1. Mieux maîtriser le pilotage des dépenses énergétiques
    La gestion fine des dépenses énergétiques repose sur une bonne connaissance des usages réels et de leur évolution dans le temps. Or, de nombreux sites présentent encore une vision incomplète ou décalée de leurs consommations, souvent dissociée des plages d’occupation ou de l’activité effective des bâtiments. L’absence de données centralisées ou exploitables en temps réel peut entraîner une perte de contrôle progressive. Par ailleurs, des dérives de consommation peuvent s’installer durablement sans être identifiées ni corrigées.

  2. Gérer et éradiquer des surconsommations non expliquées
    Les surconsommations énergétiques inexpliquées constituent un signal d’alerte révélateur de dysfonctionnements sous-jacents. Ces dérives peuvent résulter de défaillances dans les systèmes de régulation, de comportements énergivores non maîtrisés ou d’une configuration inadaptée des équipements. Sans outil d’analyse adapté, il devient difficile de localiser précisément l’origine des écarts et d’y remédier efficacement. Ces situations peuvent aussi cacher une mauvaise coordination entre exploitation technique et besoins réels des usagers.

  3. Fiabiliser les prévisions budgétaires de dépenses énergétiques
    L’élaboration de prévisions budgétaires fiables est souvent rendue complexe par la variabilité des conditions climatiques, des usages et des performances réelles des équipements. Des estimations erronées peuvent compromettre la planification financière et affecter les arbitrages économiques, notamment dans les contextes multi-sites ou multi-usages. Les incertitudes liées aux données historiques ou à l’évolution des consommations rendent nécessaire une approche plus rigoureuse et actualisée.

  4. Régler les situations d’inconfort d’usage liées aux installations de génie climatique
    Les installations de génie climatique sont au cœur du confort thermique et sanitaire des bâtiments. Lorsqu'elles sont mal réglées ou vieillissantes, elles peuvent générer des zones d’inconfort localisé : surchauffe, sous-chauffe, humidité excessive, bruit ou mauvaise qualité de l’air. Ces problèmes nuisent à l’expérience des usagers et peuvent se répercuter sur la performance globale des bâtiments, tout en augmentant indirectement les consommations énergétiques.

  5. Rendre plus efficientes les prestations de maintenance
    La performance des installations techniques dépend directement de la qualité de la maintenance qui leur est apportée. Une maintenance non structurée ou uniquement curative engendre une perte de réactivité, un vieillissement prématuré des équipements et une dérive progressive des performances. La difficulté à tracer les interventions, à anticiper les pannes ou à prioriser les actions impacte la fiabilité globale du parc technique.

  6. Mettre en place une supervision simplifiée
    De nombreux systèmes techniques souffrent d’un manque de visibilité ou de lisibilité pour les équipes d’exploitation. La supervision des installations est souvent morcelée, peu intuitive ou réservée à des profils experts. Cela freine la réactivité face aux incidents et limite la capacité à prendre des décisions éclairées. Une supervision trop complexe peut aussi engendrer une sous-utilisation des outils existants.

  7. Rendre plus performant l’équipement de génie climatique en place
    Avec le temps, même des équipements correctement dimensionnés peuvent voir leur rendement se dégrader. Des contraintes d’exploitation, des évolutions de l’usage du bâtiment ou des changements d’organisation peuvent entraîner un écart croissant entre le fonctionnement attendu et le fonctionnement réel. L’absence d’ajustement ou d’adaptation peut alors entraîner une baisse d'efficacité énergétique, une usure prématurée ou des coûts d’exploitation élevés.

Un cadre réglementaire exigeant, mais porteur

Pour respecter un cadre règlementaire et le besoin de décarbonation

  • Décret Tertiaire : “Obligation de résultat”
    Réduire les consommations énergétiques des bâtiments selon des objectifs progressifs à partir de 2030 
  • Décret BACS: Obligation de moyen »
    Équiper les bâtiments d’un système d’automatisation et de contrôle des bâtiments pour améliorer l’efficacité énergétique à partir du 1er janvier 2025 
  • NIS2 : S’appuie sur NIS1 ANSSI
    Renforcer les mesures de cybersécurité, de gestion des incidents et de supervision des entités fournissant des services essentiels au maintien d’activités sociales et économiques critiques 

  • RT2012
    • Exiger une consommation conventionnelle maximale d’énergie primaire
    • Assurer un confort d’été dans les bâtiments non climatisés

  • RE2020
    • Prioriser la sobriété énergétique et la décarbonation de l’énergie
    • Diminuer l’impact carbone
    • Garantir le confort en cas de forte chaleur

  • Loi Transition Énergétique pour la Croissance Verte 2015
    Réduire la consommation énergétique finale de 50% en 2050 par rapport à la référence 2012

  • Décret « Régulation » Décret n°2023-444
    Impose des classes de régulation de la température des systèmes de chauffage et de refroidissement pour améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments dès Janvier 2027

  • Norme 52120
    Définit 4 classes de performance pour les bâtiments tertiaires et résidentiels des moyens de régulations installés pour les usages principaux : CVC, Éclairages, ECS, Stores

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